un sachet énorme que tu montes à travers les étages. vieil immeuble sans ascenseurs t'es pas sûre que ce soit toujours la meilleure des solutions. un réel combat quand il faut monter les courses. mais t'as trouvé ce petit appartement aux troisièmes étages avec son petit charme et surtout sans que ça te coûte un bras. t'as aussi trouvé cette fille avec qui tu vis. une rencontre hasardeuse, au coin d'une rue de séville. sur le son d'une musique d'ici. tu l'aimes bien vania, elle est gentille. et alors que t'arrives dans l'appartement tu la vois poser dans la cuisine et tu souris doucement. oki qui vient directement te traîner dans les pâtes. il est toujours là pour ton plus grand plaisir. salut. tu souffles à bout de souffle, en posant ton sac à terre. tu passes te chercher un verre d'eau avant de te poster face à elle. toujours ton sourire au visage. est ce que tu es partante pour repeindre le salon avec moi ? tu demandes gentiment, expliquant en même temps pourquoi tu te trimballes avec un poids depuis l'autre bout de la ville. t'as eu du mal à te repérer pour trouver un magasin de bricolage, t'es sûre qu'il y en avait sûrement un plus prêt. mais tu t'es perdue comme à ton habitude. heureusement tu as retrouvé ton chemin par ici, dans votre petite appartement, il vous manque juste encore une troisième personne et les chambres seront au complet. et tu as déjà t'as petite idée derrière la tête, il ne te reste plus qu'à voir avec elle. ce jaune me fait mal aux yeux, du coup je suis allée acheter pleins de choses pour repeindre. tu dis toute heureuse, parce que t'aimes apporter ta touche ici, ça te permets de te sentir un peu plus chez toi. il y a un peu de travail, mais ça ne te fais pas peur, les propriétaires t'ont laissé carte blanche tant que tu ne repeignais pas les murs en rose.

les fesses sur le plan de travail, tu observes l'appartement. en réalité, tu joues avec l'animal. tu le cherches, tu bouges des jambes d'un côté puis de l'autre. une manière comme une autre de faire travailler ses abdominaux, non ? ça t'amuse, à croire que tu t'amuses d'un rien. c'est presque vrai, mais pas totalement. tu t'amuses de la vie, en réalité. tu t'amuses de tout ce qui peut être positif. alors tu joues quand tu entends la porte d'entrée s'ouvrir. tu lèves ton regard quand tu vois ta colocataire rentrer. preya. un ange tombé du ciel. salut. tu lui souris et tu remarques au dernier moment qu'elle transporte mille choses avec elle. salut beauté, tu as dévaliser un magasin ? tu demandes d'une voice douce avant de descendre de ton piédestal improvisé pour la rejoindre et l'aider. tu regardes les pots de peinture qu'elle déballe et tu fronces un peu les sourcils. est ce que tu es partante pour repeindre le salon avec moi ? tu hoches déjà la tête sans savoir ce que ça implique pour autant. ce jaune me fait mal aux yeux, du coup je suis allée acheter pleins de choses pour repeindre. tu sautilles à moitié avant de regarder les couleurs choisies. tu aurais dû me prévenir, je serais venue avec toi pour chercher les pots, ou au moins pour les monter, tu pourrais te faire mal au dos, tu sais ! tu l'engueules pas, non, mais t'es légèrement inquiète par son statut. pourquoi elle ne t'a pas demandé de l'aider, tu l'aurais fait avec plaisir toi.j'avoue que ce jaune n'est pas le plus beau.. c'est bien mieux de changer mais je te préviens d'avance, j'ai jamais fait de peinture de ma vie. t'es honnête, t'as jamais touché un pinceau encore moins pour repeindre un mur alors il va falloir être sympa avec toi.

une petite folie comme ça. après avoir refait la cuisine, tu passes au salon. même si l'idée de refaire la cuisine n'était pas venue naturellement au départ, mais tu t'y étais vu contrainte quand t'avais fait brûler la cuisinière. depuis tu ne cuisines plus vraiment d'ailleurs. t'as beau savoir que celle-ci ne pas prendre feu, t'as peur d'encore faire les choses de travers. tu sais que ça reviendra, il faut juste que tu te lances. comme tu te lances aujourd'hui dans ce nouveau projet que t'as en tête. salut beauté, tu as dévaliser un magasin ? tu rigoles doucement, avant de lui expliquer la raison de tout. c'est vrai que t'as sûrement plus que ce dont vous aviez besoin. mais tu regardes vania et tu vois la même excitation que toi dans son regard. et ça te fais juste sourire un peu plus. parce que t'es heureuse de pas faire ça toute seule. tu aurais dû me prévenir, je serais venue avec toi pour chercher les pots, ou au moins pour les monter, tu pourrais te faire mal au dos, tu sais ! elle était adorable vania. t'aurais pu. tu n'y as pas pensé, t'as l'habitude de te débrouiller toute seule depuis que t'es ici. t'as pas encore pris l'habitude de partager ton quotidien à nouveau avec quelqu'un. t'en fais pas, je vais bien, mon dos va bien. mais j'y penserai la prochaine fois. tu lui disais alors. bien que tu ne sais pas encore s'il y aura de prochaine fois. il faut déjà voir comment vous pouvez vous en sortir aujourd'hui. j'avoue que ce jaune n'est pas le plus beau.. c'est bien mieux de changer mais je te préviens d'avance, j'ai jamais fait de peinture de ma vie. tu la regardas et tu souris. vous seriez deux novices alors. mais t'imagines que peindre ce n'est pas si dure que ça. vous allez vous en sortir. je dois t'avouer que moi non plus. tu dis en hochant les épaules. et c'est sûrement ce qui te rends si heureuse dans le fond. faire quelque chose de nouveau. mais ça doit pas être si dur. tu l'espères. mais il suffit juste d'appliquer tout ça sur vos murs pas vrai ? t'as même pensé à prendre des trucs pour protéger le sol et vos meubles. par contre j'ai pas pris de trucs pour nous protéger. je pense qu'on va devoir enfiler de vieux vêtements.

tu descends de ton plan de travail pour venir aider preya. tu regardes ce qu'elle a ramené et t'es déjà en train de t'excité toute seule. tu imagines le mur repeint et tu as hâte. t'en fais pas, je vais bien, mon dos va bien. mais j'y penserai la prochaine fois. tu hoches la tête. j'espère qu tu vas bien ! sinon je te ferai un massage ce soir. tu lui assures, en souriant un peu. un léger sourire en coin avant de t'intéresser à ce qu'elle est en train de préparer. tu regardes et tu lui avoues que.. tu n'as jamais peint un mur. pas comme ça. t'as déjà été cette petite délinquante une bombe de peinture en main à taguer un pseudo qui n'est même pas le tien. mais peindre un mur ? je dois t'avouer que moi non plus. tu ris doucement, t'es rassurée pour le coup, tu vas l'aider et tu ne feras pas plus de bêtise qu'elle. c'est plutôt bon signe. mais ça doit pas être si dur. elle rajoute. tu hoches la tête. j'pense pas non plus ! tu assures en souriant encore un peu. t'es déjà en train de voir comment déplacer les meubles quand elle reprend la parole. par contre j'ai pas pris de trucs pour nous protéger. je pense qu'on va devoir enfiler de vieux vêtements. tu pinces tes lèvres. des vieux vêtements ? t'es pas venue avec beaucoup de vêtements en réalité. une valise, pas plus alors.. oh, je vais me mettre en sous-vêtement plutôt. j'ai pas beaucoup d'affaire.. ça serait dommage que je les salisse. tu es déjà en train de te justifier avant de venir pour débarrasser les meubles du milieu. elle t'aide et au bout d'un quart d'heure tout est presque à l'abri pour commencer à peindre alors tu retires ton jean, simplement et ton haut que tu fais voler vers le canapé. tu prends une pause suggestive, pour rire. j'suis prête pour camoufler ce jaune !

j'espère que tu vas bien ! sinon je te ferai un massage ce soir. et tu souriais à cette intention. t'étais vraiment tombée sur la bonne personne. et tu ne pouvais pas rêver mieux pour t'accompagner aujourd'hui dans cette aventure. oh eh bien dans ce cas, je crois que j'ai effectivement un peu mal au bas du dos. tu disais en plaisantant. parce que qui oserait dire non à un massage après tout. bien que même si ça avait été dur de monter ces sachets, tu survivrais. t'étais un peu plus forte que tout ça. j'pense pas non plus ! qu'elle te disais et tu souriais. au pire que pouvait-il arriver à part une tâche au mauvais endroit. t'es sûre que vous pouviez assurer là-dessus, il n'y avait pas de raisons. même si tu te rendais compte que t'avais oublié une chose. oh, je vais me mettre en sous-vêtement plutôt. j'ai pas beaucoup d'affaire.. ça serait dommage que je les salisse. et tu hochais doucement les épaules. ne pensant pas à ce que ça pourrait te faire de la voir en sous-vêtement. parce que tu n'y penses pas sur le coup. tu déplaces juste tout les meubles avec elle. jusqu'à ce qu'elle apparaisse face à toi. j'suis prête pour camoufler ce jaune ! elle est là face à toi, en sous-vêtement. et tu te mets à rougir. un sourire que tu essayes d'afficher pour cacher tout ça. tu ne t'attendais pas réellement à la voir en sous-vêtement. après tout ce n'est rien, c'est un corps comme un autre. tu es formée de la même manière. mais tu ne peux t'empêcher de la trouver jolie là vania. j'arrive, je vais me changer. que tu dis en fuyant déjà. tu ne voulais pas qu'elle vois le rouge qui t'étais monté aux joues. alors c'était l'occasion parfaite pour aller enfiler de vieux vêtements. parce que tu n'avais pas vraiment le courage de te mettre dans la même tenue qu'elle. tu n'avais sûrement pas autant de confiance en ton corps. c'est partit. tu lâchas alors que tu repassais la porte du salon. vania qui c'était déjà lancée sur un mur. tu souris doucement, attrapant un pinceau à ton tour pour commencer. et sinon ta journée ? tu demandais naturellement. alors que le temps passait et qu'il fallait bien te distraire un peu, pendant que tu appliquais cette nouvelle couche blanche.

oh eh bien dans ce cas, je crois que j'ai effectivement un peu mal au bas du dos. tu ris doucement devant ses mots, parce que tu sais que c'est parce qu'un massage ne se refuse pas. t'aimes bien, tu souris alors à ton tour en haussant les épaules. vas-y, je t'en ferai un ce soir, t'inquiète. tu lui assures et tu vas tenir ta promesse, tu lui feras un massage. t'es pas forcément la plus douée, mais tu penses sincèrement que ça peut lui faire du bien. elle a quand même monté tous les pots de peinture toute seule jusqu'en haut. c'est pas anodin d'après toi, donc tu veux faire un effort pour elle. c'est ta colocataire, et tu l'apprécies vraiment. elle est gentille, elle a ce côté bienveillant qui te donne envie de la prendre dans tes bras. j'arrive, je vais me changer. qu'elle ajoute rapidement quand toi, t'as déjà retiré tes vêtements pour ne pas les salir. tu attrapes un rouleau de peinture et ça y est, c'est parti. ni une ni deux, t'es déjà en train de recouvrir le jaune quand preya revient. tu lui offres un sourire quand tu la vois avant de te concentrer de nouveau sur le mur. c'est partit. et sinon ta journée ? tu lui souris, un peu avant de réfléchir à ta journée. j'ai pas fait grand chose en réalité. je me suis baladée en ville pour voir un peu ce qu'il y a à faire. j'ai dansé aussi, il y avait un petit groupe de musicien et j'ai pas pu m'en empêcher, j'te jure, ils étaient formidables !faut que je trouve un endroit pour danser. un club, ou quelque chose du genre. tu lui expliques, sincèrement. t'es contente quand elle te pose des questions, tu sais que ça l'intéresse et que ce n'est pas simplement pour faire la conversation. et toi alors, ta journée ?